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jeudi 21 janvier 2010

Depêche AFP

Le secrétaire d'Etat aux Transports D. Bussereau a assuré que le gouvernement s'opposerait à toute suppression de lignes TGV, mardi lors de la séance des questions à l'Assemblée Nationale.
"Il n'y aura pas de risque de suppression de dessertes sur notre réseau TGV. Telle est la volonté du gouvernement de la République", a assuré M. Bussereau en répondant à une question de la députée Catherine Génisson (PS), qui s'inquiétait de la pérennité de certaines dessertes déficitaires, que la SNCF pourrait remettre en cause.

"Il n'y a pas de volonté du gouvernement, il n'y aura donc pas de décision d'entreprise de supprimer ces dessertes", a-t-il ajouté.
Quelques minutes plus tôt, le secrétaire d'Etat avait assuré à Marie-Louise Fort (UMP) que "le premier ministre et le gouvernement ne veulent pas entendre parler de suppression de dessertes TGV sur le territoire français. Les choses sont claires, nettes et précises".
"Il est exact que la SNCF a connu des baisses de trafic (...) mais ça ne justifie pas de fermer des lignes", a-t-il ajouté. "Notre position est définitive. La SNCF devra l'appliquer!", a-t-il souligné.
M. Bussereau avait déjà assuré mardi matin sur RTL qu'aucune ligne TGV ne serait supprimée.
Confrontée à une baisse de la fréquentation alors que les péages qu'elle doit acquitter pour le passage de ses TGV augmentent, la compagnie publique a indiqué qu'elle passait en revue l'ensemble de ses lignes et pourrait supprimer certaines dessertes déficitaires ou en réduire les fréquences, notamment sur les axes Paris-Arras, Lille-Strasbourg, et Nantes-Strasbourg.
A l'Assemblée, Dominique Bussereau a justifié sa décision d'augmenter les péages par la nécessité de régénérer le réseau ferroviaire, faisant remarquer que la SNCF récupérait les deux-tiers de la somme puisqu'elle entretient ledit réseau. "C'est donc une politique de donnant-donnant", a-t-il dit.

mercredi 13 janvier 2010